effectivement ma belle perle Marrakech est une ville de la grande martyre Saida

MOHAMMED MOHAMMED FAKKAK
2016 / 7 / 3

Marrakech – la commune républicaine démocratique populaire socialiste révolutionnaire indépendante le 02/07/2016


« Zineb, Youssef ibn tacha fine : réveillez-vous, Marrakech- le véritable, l’aimable Maghreb sous le cul, l’anus des chiens, traitres, prédateurs, clochards, assassins, terroristes, impérialistes – sionistes. »
Che Guevara ibn Abdelkrim el Khattabi ibn Asahara Sahara Abu Smahane ibn Abdel mati ibn el Hassan ibn Salah ibn Tahar Mohammed Mohamed fakkak.
Toute l’histoire de notre chère patrie, le grand, le noble Maghreb, confirme que le pôle principal d’effectivité de chaque citoyenne, citoyen est bien la première, l’éternelle capitale : Marrakech, notre fleur rouge, notre perle, notre rose , notre paradis terrestre, notre si bien – aimée, notre tendre cœur, notre âme, notre moitié, notre tout.
Sans Marrakech, la capitale internationale de la lumière verdâtre ,de la douce beauté, du soleil rayonnant sur le peuple le plus triste dans tout le monde, le très cher Maghreb serait aveugle, muet, sourd, noir, plongé dans les froides ténèbres obscurantistes, tombé avec des chocs funèbres, « tout l’hiver sombre va rentrer dans son être, dans son entité, dans sa toute pensée, ce Maghreb serait là, mais il ne serait plus jamais vrai.
Tout le rêve des citoyennes, des citoyens de Marrakech, c’est de vivre d’amour, de régime républicain, démocratique radical civil laïque socialiste populaire révolutionnaire indépendant. Car la révolution c’est l’amour, et sans amour révolutionnaire, progressiste, avant-garde, la vie n’a pas de sens, n’ pas de signification, n’a pas de réalité. Alors il faut que tous s’adapter à la vie contemporaine, moderne, philosophique, scientifique, littéraire, artistique, esthétique, c’est – à – -dir-e, il faut que toutes les femmes, les hommes, la jeunesse s’épanouisse avec la poésie- thérapie. Pour que tous aient le droit de la liberté, de l’égalité, de l’humanité, le droit d’expression, de la liberté de la religion, de s’écouter, de s’aimer, de faire l’amour, d’avoir des projets progressistes, de faire la Greve, de faire la révolution face à l’infidélité de ce roi qui a des liaison illégitime qui est le plus destructeur de la nation maghrébine, contre ce maudit régime, méchant, ingrat, traitre mercenaire, raciste, fasciste, naziste, néo- colonialiste, néo- comprador, autocratique, patriarche, dictateur, corrupteur, prédateur, anti- nationaliste, anti- démocratique, anti- populaire, impérialiste, sioniste.
J’ai beaucoup conscience de lutter pour réchauffer mes relations avec ma céleste, mon extase vers le ciel divin, sacré, éternel : Marrakech. j’ai beaucoup combattu, pour que cette ville historique restes la capitale principale pour tout le grand -Maghreb, car j’ai bien peur que ce dernier patriarche-ci n’ait que la profonde haine, le mépris pour notre perle ville, pour notre grande génie zineb, pour notre grand Youssef, femme supérieure, sa majesté homme !
Finalement ,je confirme que Marrakech est une ville de la grande martyre Saida


Marrakech
J ai vécu tes misères et vaincu tes murailles
De ma vie près de toi aux instants de survie
J ai brulé mes trésors devant tes feux de paille
J ai chanté tes prières et j ai vu tes sept Saints.
J ai cotoyé l ivresse partagé tes folies
De destins en destins
Ma vie devint jolie.
J ai gouté dans tes bras des absolues tendresses
Et j ai pleuré tout bas quand tu m as éblouie.
Lorsque tu m as montré que mieux que des promesses
L essentiel c est de croire qu il y a un Paradis.
J ai rêvé sous tes étoiles la nuit du Grand Destin
J ai imploré ton ciel qu il me tienne la main.
Et j ai brisé mes chaines quand tu m as répudiée!
Comme un oiseau blessé je me suis mise en cage
De ma prison dorée j entendais psalmodier
La supplique des Nobles la prière des Sages.
Et j ai tout pardonné je t ai rendu mon coeur
Et je me suis offerte à d autres enchantements
J ai appris tes silences et tes sourires menteurs
Et me suis résignée à tes envoûtements.
J ai bu à tes poisons qui profanent mes veines
Et reconnu l Amour que je soupçonnais mort...
Je ne veux pas savoir les lieux où tu m emmènes
Peu m importe les sentes et tans pis si j ai tort.
Car je veux croire en Toi ma cruelle complice
M apaiser à tes feux et manger dans tes mains
M égarer mille fois au fond de tes abysses
Pour que dans mes errances tu me frayes un chemin.
Marrakech mon Amour...


IBN AZZAHRAA AZZAHRAA MOHAMMED MOHAMMED FAKKAK




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