.aux armes citoyens.formez vos bataillons. marchons, marchons. quun sang impur. abreuve nos sillons

mohammed mohammed fakkak
2015 / 9 / 29

Khouribga – la capitale principale de l’art, de la beauté, de la paix, des festivals cinématographiques africains

Le 28.09.2015.
« Le festival cinématographique africain face aux mercenaires colonialistes, révisionnistes, hypocrites, arrivistes, réactionnaires »
Ibn azahraa, ibn Asahara, Mohammed Mohamed ibn el mati ibn el Hassan ibn Salah ibn Tahar Fakkak.
Laissez Abdel illah jwahri, le fils de colon, l’élève peu discipliné, qui mène à tous les festivals une vie désordonnée, des mauvaises fréquentations avec de camarades férus de chaos, qui a contracté une maladie d’un cerveau enfantin, qui a voulu prendre le festival du cinéma africain tout à lui. S’enivre, se passionner, composer des mensonges, d’éteindre les étoiles de Khouribga promises à un brillant avenir, se tenir en grand mépris, pratiquer, processionner la critique vulgaire, l’accusation, la falsification, renier la vérité, la réalité. Mais il a oublié que ses mensonges, ses jalousies, ses hontes, ses dégouts critiques les plus amers, les plus réactionnaires, il n’a pas reconnu cette noblesse sagesse du penseur jacques Prévert » quand la vérité n’est pas libre, indépendante, nationale, démocratique, progressiste, révolutionnaire, la liberté n’est pas vraie »
Ce petit chose, cet opium, ce poison, ce débauché , ce Verus, qui entre en possession de l’héritage de tous les festivals artistiques, cinématographiques nationaux ,arabes, africains « avec quelque chose à la fois de prodigalité , de bestial et de bohème » son grand plaisir est de dominer, de consacrer sa vie, de maitriser totalement les activités des autres, de détester les révolutions, les résistances, les soulèvements populaires et prolétaires, il n’a pas ni la bonne volonté patiente et tenace, ni les projets, les prospectives nationales – démocratiques populaires et révolutionnaires , ni la haute détermination, il n’a jamais inspiré au festival cinématographique africain un lumineux amour, une fascination amoureuse, il est toujours hypocritement attaché par ses propres intérêts, il est à court d’argents, de fortunes, il est toujours attentif aux manifestations des néo- colonialistes – impérialistes, il est frappé d’hémiplégie de la raison , puis d’aphasie de l’ame, sa préoccupation principale est devenu la préparation d’un grand vizir auprès des terroristes, des obscurantistes islamistes mais sans penser qu’il est bien au-dessus des capacités, intellectuelles, philosophiques, scientifiques, artistes, poétiques, littéraires esthétiques, moralistes éthiques, que peut lui procurer, manifester sa dignité, son honneur, son originalité, son authenticité marocaine, patriote arabe, amazigh, africaine.
Ce petit chose, est ingrat et malfaisant ,Il ne veut pas savoir, reconnaitre, que le festival cinématographique africain, ne sera plus jamais, un festival colonialiste, je peux affirmer, à mon tour que le festival clair et rose, chant plein de lumière et de fraternité est né, fondé, crée de nos travails, et de nos yeux, de nos amours « nous le rallumerons, pour que de notre amour naisse la poésie, cinématographique africain, qui jaillira vers dieu comme une rare fleur ».
Tous ces imbéciles, ces vieux traitres maudits ne peuvent pas savoir que Ce festival, chante la paix africaine, et « apporte la gloire aux peuples africains ivres d’amour, du cinéma, de la chanson, de la musique, de la poésie, de la liberté, de l’égalité, de la démocratie, de la dignité, de l’indépendance, de la souveraineté, de l’humanité, de travailler efficacement à conforter l’unité de l’Afrique dans la diversité » .
Jõ-;-hri Abdel illah fut l’un des pionniers du hypocritisme, égoïste révisionniste moderne au Maroc. Il fut encore un soldat très actif de la colonisation consacrée aux impérialistes et aux bandes islamistes racistes, fascistes.
Je considère les accusations injustes, hostiles et non- justifiées du petit fils des colons sont des interventions étrangères, extérieures, malvenue, hors la loi, hors la critique logique objective scientifique.
Le grand festival cinématographique africain finira par comprendre que le cinéma ne signifie en fin que la paix africaine conditionne la paix du monde, il n’est d’autre sauvegarde que l’-union- des peuples africains contre les formes multinationales d’exploitation et d’oppression. Après tout, comme écrivait Malraux « l’espoir des hommes, c’est leur raison de vivre et de mourir » une pensée anti- coloniale. Charles – André julien.
partie) du film Milou en mai de Louis Malle (1990). - Merci Monsieur Coquelin !
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Paroles
Debout, les damnés de la terre
Debout, les forçats de la faim
La raison tonne en son cratère,
C est l éruption de la faim.
Du passé faisons table rase,
Foule esclave, debout, debout
Le monde va changer de base,
Nous ne sommes rien, soyons tout.
Refrain (répété deux fois)
C est la lutte finale -;-
Groupons nous et demain
L Internationale
Sera le genre humain.
Il n est pas de sauveurs suprêmes
Ni Dieu, ni César, ni Tribun,
Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes
Décrétons le salut commun.
Pour que le voleur rende gorge,
Pour tirer l esprit du cachot,
Soufflons nous-mêmes notre forge,
Battons le fer tant qu il est chaud.
L É-;-tat comprime et la Loi triche,
L impôt saigne le malheureux -;-
Nul devoir ne s impose au riche -;-
Le droit du pauvre est un mot creux
C est assez languir en tutelle,
L É-;-galité veut d autres lois -;-
"Pas de droits sans devoirs, dit-elle
É-;-gaux pas de devoirs sans droits."
Hideux dans leur apothéose,
Les rois de la mine et du rail
Ont-ils jamais fait autre chose
Que dévaliser le travail ?
Dans les coffres-forts de la banque
Ce qu il a crée s est fondu,
En décrétant qu on le lui rende,
Le peuple ne veut que son dû.
Les rois nous saoulaient de fumée,
Paix entre nous, guerre aux Tyrans
Appliquons la grève aux armées,
Crosse en l air et rompons les rangs !
S ils s obstinent ces cannibales
A faire de nous des héros,
Ils sauront bientôt que nos balles
Sont pour nos propres généraux.
Ouvriers, paysans, nous sommes
Le grand parti des travailleurs,
La terre n appartient qu aux hommes,
L oisif ira loger ailleurs.
Combien de nos chairs se repaissent !
Mais si les corbeaux, les vautours,
Un de ces matins disparaissent,
Le soleil brillera toujours.
L auteur
Né en 1760 à Lons-le-Saunier, Claude-Joseph Rouget de lisle est capitaine du génie mais a mené une carrière militaire assez brève. Révolutionnaire modéré, il est sauvé de la Terreur grâce au succès de son chant ! Il est l auteur de quelques romances et opéras, il vit dans l ombre sous l Empire et la Restauration jusqu à son décès à Choisy-le-Roi en 1836.

Le texte de la Marseillaise
1er couplet

Allons enfants de la Patrie,
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie,
L étendard sanglant est levé ! (bis)
Entendez-vous dans les campagnes
Mugir ces féroces soldats ?
Ils viennent jusque dans nos bras
Egorger nos fils et nos compagnes !

Refrain

Aux armes, citoyens !
Formez vos bataillons !
Marchons ! marchons !
Qu un sang impur
Abreuve nos sillons !

2

Que veut cette horde d esclaves,
De traîtres, de rois conjurés ?
Pour qui ces ignobles entraves,
Ces fers dès longtemps préparés ? (bis)
Français, pour nous, ah! quel outrage !
Quels transports il doit exciter !
C est nous qu on ose méditer
De rendre à l antique esclavage !

3

Quoi ! ces cohortes étrangères
Feraient la loi dans nos foyers !
Quoi ! ces phalanges mercenaires
Terrasseraient nos fiers guerriers ! (bis)
Grand Dieu ! par des mains enchaînées
Nos fronts sous le joug se ploieraient !
De vils despotes deviendraient
Les maîtres de nos destinées !

4

Tremblez, tyrans et vous perfides,
L opprobre de tous les partis,
Tremblez ! vos projets parricides
Vont enfin recevoir leurs prix ! (bis)
Tout est soldat pour vous combattre,
S ils tombent, nos jeunes héros,
La terre en produit de nouveaux,
Contre vous tout prêts à se battre !

5

Français, en guerriers magnanimes,
Portez ou retenez vos coups !
Epargnez ces tristes victimes,
A regret s armant contre nous. (bis)
Mais ces despotes sanguinaires,
Mais ces complices de Bouillé,
Tous ces tigres qui, sans pitié,
Déchirent le sein de leur mère !

6

Amour sacré de la Patrie,
Conduis, soutiens nos bras vengeurs !
Liberté, Liberté chérie,
Combats avec tes défenseurs ! (bis)
Sous nos drapeaux, que la victoire
Accoure à tes mâles accents !
Que tes ennemis expirants
Voient ton triomphe et notre gloire !

7

Nous entrerons dans la carrière
Quand nos aînés n y seront plus-;-
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leurs vertus. (bis)
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil,
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre
Ibn Asahara ibn Asahara Mohammed Mohamed Fakkak.




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