pour changer un système, il faut avant tout créer une opinion publique.. cest vrai pour la révolution-;- cest également vrai pour la contre - révolution- mao tse toung

mohammed mohammed fakkak
2015 / 7 / 25



Khouribga – la république marocaine nationale démocratique progressiste socialiste populaire avant – garde indépendante
unifiée.
Le 24.07.2015.
« Les dernières jours du régime royal colonialiste despotique tyrannique raciste fasciste réactionnaire anti- national anti- démocratique, anti- populaire »
Le fils le plus doué à la république révolutionnaire du grand héros, du noble -dir-igeant Mohammed ibn Abdel Karim el khattabi :
Le plus fidèle à la voie démocratique radicale avant- garde, progressiste, socialiste marxiste – léniniste : ibn Asahara ibn Asahara Mohammed Mohamed Fakkak.
« Il y a tant à faire et toujours le temps presse, le ciel tourne et la terre, les jours sont sans pitié.dix mille ans, c’est trop long !
Saisis le jour,
Saisis – le maintenant ! »
Mao Tsé-toung (9 janvier 1963).
La révolution arabe -print-anière démocratique du 20 février de la jeunesse marocaine la plus corpulente la plus vigoureuse et sereine. Elle était et serait la maitresse de la situation consciente de l’être. Les taches les plus dures, les batailles les plus apres,les luttes les plus difficiles de notre noble révolution :c’est la reconstruction de la nation marocaine, du peuple marocain pour l’avenir, non le passé dépassé, ce n’est qu’un début, qu’un commencement, nous avons toujours l’esprit alerte, nous continueront le combat, la lutte, la résistance, la marche en avant, en l’avenir, cette avance s’est poursuivie sans un pas, sans retour en arrière. Nous relevons le défi de la faculté, de la capacité de forger, de fonder, de batir,d’édifier, d’acquérir de construire, de créer, avec toute liberté, toute responsabilité, la république moderne nationale démocratique progressiste, avant –garde, socialiste révolutionnaire indépendante, de lever la citoyenneté marocaine, l’être humain marocain »comme on lève l’ancre pour voguer librement vers la haute mer » pour annuler anéantir ,effacer définitivement cette fausse monarchie qui insulte, traite le peuple marocain comme des esclaves, des animaux humiliés, opprimés, oppressés. Et comme avait déclaré mao Tse Toung » la conquête de la victoire dabs tout le pays n’est que le premier pas d’une longue marche de dix mille lis »
Il faut que notre peuple connaisse que le sens de la dictature monarchique « alaouite » colonialiste, étrangère, arbitraire imposant avec rigueur par les colonialistes européens impérialistes américains – sionistes israéliens, cette monarchie qui a engloutit, violé tout le Maroc, n’a d’autre sens que de rendre le peuple sans perspectives d’avenir, sans programme beaucoup plus radical de résoudre ces problèmes, -dir-iger l’industrie et le commerce, traiter les affaires étrangères et intérieures de l’enseignement, de l’éducation, de la santé, de la paix, de l’armée, d’accomplir une politique nationale démocratique populaire, une politique permettant de faire face aux crises dramatiques , aux problèmes structurels, crucials de la famine, de la pauvreté, du terrorisme ,du chaos islamisme raciste, fasciste.
Combien ce peuple reste opprimé, oppressé passif, et épuisé, « car la nouvelle, méthode, révolutionnaire démocratique résistante, est appuyée sur l’éducation -;- le peuple tout entier doit participer à penser chaque transformation entreprise, apprendre à penser et à exercer le pouvoir lui- même pour transformer le Maroc en « état moderne national démocratique populaire progressiste socialiste industriel, fort, prospère indépendant » mais c’est par l’ample participation du peuple à l’action d’une -dir-ection efficace que ce but doit etre réalisé. Il est vain de chercher à obtenir une transformation radicale de la société par la force. Il faut » éduquer » le peuple pour qu’il devienne capable de se transformer lui – même et de transformer la société » le discours de mao Tse Toung.
Tous les rois du dynastie « alaouites » sont des réactionnaires,retardaires, dictateurs, colonialistes anti- nationaux ,anti- démocratiques, anti- populaires. Seule avec la république démocratique progressiste, socialiste révolutionnaire, populaire, le Maroc sera, et devenu un colosse prospère et puissant, avec la révolution du prolétariat, des paysans, de la jeunesse, des masses populaires, nous allons accomplir l’impossible, démentir toutes les mensonges, les prédictions des intellectuels trahissants, opportunistes de la classe du petit- bourgeois qui ne voudraient pas montrer au peuple le vrai visage noir du régime royal, ne voudrons pas reconnaitre que ce régime royal devient plus vieux, plus caduque, qui chaque jour il prévoit sa mort, sa chute. Nous voudrons que cette révolution deviendra la théorie, la pratique, l’expérience, l’enseignement de la science révolutionnaire dans les écoles, les universités, les mosquées, les télévisions, pour que cette révolution soit être pénétré dans tous les esprits, les âmes, les pensées, la vie du peuple marocain.
C’est comme dit mao Tse Toung : » l’enseignement vient parles erreurs et les coups durs »
« quand l’arbre tombe, les singes s’éparpillent » « grand désordre sous le ciel.. La situation est excellente » « la révolution peut tout changer »
« Où est la bourgeoisie ? Elle est… dans le parti. »
Une révolution n’est pas un diner de gala » oh ! vous les nouveaux chiens de garde royaux révisionnistes !
« les peuples révolutionnaires.. constituent plus des neuf dixièmes de la population du monde.. La victoire finale leur appartient. »
Je suis un être plein d’imperfection… je n’ai entrepris l’étude de l’économie que tout récemment, mais j’étudie avec acharnement et je continuerai jusqu’à ma mort..autrement quand viendra l’heure ou je me présenterai devant Marx -;- je serais dans l’embarras s’il me posait des questions auxquelles je ne pourrais répondre. Que ferais- je alors ? »


DIX POÈ-;-MES DE MAO TSÉ-;--TOUNG
traduction de Philippe Sollers
première publication: Tel Quel n°40, Hiver 1970, repris dans Sur le matérialisme, Seuil, 1974

Andy Warhol, Mao, 1972




À-;- LI SHU YI
11 mai 1957

j ai perdu mon orgueil le peuplier Yang
vous avez perdu Liu ce saule pleureur
flottant et montant droit au neuvième ciel
interrogeant Wu Gang
ils reçoivent l’eau de vie aux fleurs de cannelle

solitaire la déesse Chang E déploie largement ses manches
dans le grand espace un moment elle danse pour les patriotes morts
soudain on annonce : dans le monde humain le tigre est dompté
sur le champ comme des torrents ses larmes volantes








SHAOSHAN
25 janvier 1959

séparation effacée — malédiction du cours d eau
ancien jardin il y a trente-deux ans
drapeaux rouges tourbillonnants — soulèvement des lances esclaves
mains noires accrochant haut le fouet des accapareurs

à cause des sacrifices : beaucoup de pensée
audace : -dir-e au soleil et à la lune de faire un ciel neuf
joie : voir les vagues de riz et de haricots en mille couches serrées
partout sur la terre : fleurs mâles descendant vers le soir fumée

EN ESCALADANT LA MONTAGNE DE LU
1er juillet 1959

montagne volante dressée au bord du grand fleuve
de la base au sommet quatre cents tours verts
œil froid regardant le monde vers l océan
vent chaud : pluie mouillant fleuve et ciel

traînées des nuages sur les affluents : grues jaunes
vagues descendant les trois Wu : blanches fumées soulevées
préfet Tao : on ne sait où il est allé
source des fleurs de pêchers : possibilité de la cultiver













DÉ-;-DICACE POUR UNE PHOTO DES MILICES POPULAIRES FÉ-;-MININES
Février 1961

fleurs puissantes du vent fusils de cinq pieds
début du jour éclairant le champ de manœuvres
surprenante pensée des filles garçons de chine
ne plus aimer les robes rouges
préférer l habit de combat





Andy Warhol, Mao, 1974







RÉ-;-PONSE À-;- UN AMI
1961

nuages blancs volant sur les neuf sommets
pentes vertes : filles de l empereur descendant le vent
une branche de bambou tachetée : mille larmes
dix mille nuages rouges : cent couches d habits

lac Dongting : tourbillons-vagues-neige lié au ciel
sur l île : chant des poèmes ébranlant la terre
d où mon désir : rêver dans l espace vide
partout sur le pays fleuri : soleil du matin










DÉ-;-DICACE POUR LA PHOTO PRISE PAR LA CAMARADE LI-JIN DE LA GROTTE DES IMMORTELS DE LA MONTAGNE DE LU
9 septembre 1961

grand soir gris d espace — vision des pins forts
comme toujours aisément traversée en vol des nuages
grotte des immortels venue du ciel
sans bornes vents et lumières à pic


Andy Warhol, Mao, 1973

RÉ-;-PONSE AU CAMARADE GUO MO-RUO
17 novembre 1961

vents et tonnerres se levant sur la grande terre
aussitôt fantômes naissant sur les tas d os blancs
le bonze est idiot mais éducable
les catastrophes viennent des génies malfaisants

le singe d´-or-brandit son bâton de mille livres
dix mille li sans poussière et l univers devient jade
appelons aujourd hui Sun le grand parfait
devant le retour en brouillard des monstres











LE « MEI »
Décembre 1962

lecture du poème de Lu You sur le mei, emploi et renversement de son sens

vent et pluie — départ du -print-emps
cependant flocons à son retour
glaçons de mille pieds falaises
pourtant beauté des branches fleuries

belles mais ne disputant à rien le -print-emps
annonçant simplement son arrivée
quand flamberont les fleurs de montagne
rires au milieu d elles










NUAGES D HIVER
26 décembre 1963

nuages d hiver pressés de neige — duvet blanc volant
dix mille pétales se fanant pêle-mêle — rares instantanément
sous la hauteur du ciel court le fleuve bouillonnant de glace
sur la grande terre imperceptiblement un souffle en douceur

rien que des fleurs mâles chassant tigres panthères
parmi les meilleurs personne ayant peur des ours
les arbres épanouis mei jouissent de la neige partout sous le ciel
rien d extraordinaire si le gel tue les mouches


Andy Warhol, Mao, 1972







RÉ-;-PONSE AU CAMARADE GUO MO-RUO
9 janvier 1963

planète minuscule
mouches grises contre un mur
wong wong
grands cris gelés pour les unes
les autres étouffent leurs pleurs

fourmis au pied d un acacia
se vantant d être une grande nation
insectes voulant ébranler un arbre
facile à -dir-e

maintenant vers Chang-an chute des feuilles par le vent d ouest

flèches volant vibrantes

que de choses à faire depuis toujours
ciel et terre en révolution — temps bref
trop long dix mille ans
agir sur le champ

les quatre mers se retournent
les nuages et l eau se déchaînent
les cinq continents tremblent
le tonnerre le vent sont violents

insectes nuisibles à balayer sans reste
ennemi à rendre impossible
Ibn Asahara ibn Asahara Mohammed Mohamed Fakkak.




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