a bas le roi prédateur mohammed six

mohammed mohammed fakkak
2016 / 1 / 21

Khouribga – l’épervier international Mohammed ibn Abdel Karim el khat tabi- la république prolétarienne démocratique


socialiste populaire révolutionnaire indépendante : le 21.01.2016
« Comment resterons – nous soumis à l’autorité dictature absolue du roi prédateur, raciste fasciste, terroriste impérialiste - sioniste ?
La voie démocratique, radicale progressiste avant- garde socialiste marxiste – léniniste, communiste révolutionnaire :
Ibn Asahara ibn Asahara Abû Smahane ibn Abdel mati ibn el Hassan ibn Salah ibn Tahar Mohammed Mohamed Fakkak.
Un peuple opprimé, sans,droit,sans volonté, sans souveraineté, sans liberté, sans démocratie, sans indépendance, sans égalité est comme un mort, néant, qui ne pourrait que ressentir son infériorité
Je peux démentir scientifiquement et historiquement, le mythe qui prétend que les rois galaouites, avaient des rapports, des liens de parenté avec sainte la famille de la fille du prophète Fatima Asahara. Car cette famille faisait partie des tribus humiliés, des nomades sahariennes, des étrangers colonialistes envahisseurs qui ne défendaient qu’une politique favorable à leurs intérêts, détournaient habilement les mentalités, les âmes, les esprits, la religion islamique à leurs profit, leurs marchés fermés, leurs biens.
Mieux valait mourir que de céder, que d’obéir au roi galaouite, opportuniste, traitre, populiste qui est plus miséricordieux envers les impérialistes – sionistes, mais très cruel, sauvage ,barbare, terroriste, tyrannique ,despote, assassin, criminel envers les masses populaires ,les pauvres, les misérables, les prolétaires -;-mes femmes, les paysans, les étudiants, les élèves, les professeurs.
Ce roi est aussi sympathisait avec les courants impérialistes- sionistes, des nazi, en raison de sa nature non – humaine, comme des pierres, des animaux, des poubelles, des choses.
Peut- être sa politique anti – nationaliste, anti – démocratique, anti – populaire montre-t- elle avant tout, avec une insistance et une ténacité sans égales, combien ce roi est un dictateur absolu, un bourreau. Il se veut un roi dictateur.
La dictature de Mohammed six consacre toute sa passion, son autorité néo – colonialiste qui souffle à travers la société marocaine comme celle qui vient à autres pays, dans les régimes obscurantistes arabes saoudites, et turque, n’est pas née de notre temps moderne, cette maudite dictature absolue vient du fond des milliers ans.
Il faut une révolution républicaine démocratique radicale, populaire, progressiste, socialiste qui doit mau-dir-e le régime galaouite fabriqué dépourvu de l’Authenticité, l’originalité légitime. « Car sans l’homme libre, le Maroc serait muet, sourd, aveugle, mort, néant. Il serait là, mais il ne serait pas le vrai, c’est – à- -dir-e le Maroc sous la règne de la barbarie galaouite retourne à l’obscurité.

Mais pourquoi la richesse globale de CE roi, vicieux prédateur n’a pas fait disparaitre, vaincre, la misère, la pauvreté, le chômage, l’ignorance, l’injustice, l’inégalité, les impôts négatifs ? pourquoi ce roi ne prend pas parti pour une stratégie sociale, des aides sociales vers les pauvres, éviter ainsi la crise structurelle économique, financière qui guette la sécurité sociale nationale ?
C’est comme nous montrons la politique royale démontre avec sa dictature absolue, que si la pauvreté et la misère sont naturelles, le roi est devenu aujourd’hui assez riche, assez milliardaire que les riches des états - unis américains grande – Bretagne, suède, France.
Le discours du dictateur : Mahmoud Darwich for ever

Certes, elles n’ont plus aujourd’hui l’aura qu’elles avaient encore il y a quelques années… Mais il est tout de même étonnant de constater que les grandes voix poétiques arabes se tiennent à distance, très critique, des soulèvements arabes. Au Bahreïn, Qassim Haddad, auteur avec Amin Saleh en 1984 d’un manifeste qui fut une véritable « révolution » poétique, n’est guère sorti de son silence que pour condamner, au tout début des événements, les excès des révolutionnaires (référence en arabe). Réticent vis-à-vis de ce qu’on appelle le « -print-emps arabe », Adonis l’est encore plus par rapport à « ce qui se passe en Syrie et qu’on appelle révolution [et qui] n’en est pas une. Il se passe des choses contraires au principe même d’une révolution. » Mais c’est encore « le dernier communiste », l’Irakien Saadi Youssef, qui est le plus cruel avec son poème se moquant des poules caquetant « -print-emps arabe, -print-emps arabe ! »
Qu’aurait pensé de tout cela Mahmoud Darwich, disparu au début du mois d’août, il y a cinq ans déjà ? Quel parti aurait-il pris dans ces soulèvements qui laissent si peu de place, en apparence du moins, à la question palestinienne ? La réponse se trouve dans les écrits qu’il a laissés, et dans les lectures qu’ils susciteront, longtemps encore. Certains textes plus que d’autres, à certains moments et dans certaines circonstances.
Ces Discours versifiés du dictateur (ÎõØÈ ÇáÏíßÊÇÊæÑ ÇáãæÒæäÉ) en particulier. Composés à Paris entre 1986 et 1987 pour la revue Al-Yawm al-sâbi’, ils dénonçaient une situation politique qui pouvait caractériser plus d’un pays arabe, même si le régime syrien s’était alors senti visé au point que ces poèmes n’y circulaient que sous le manteau… A cause de ce vers, peut-être, trop évocateur de la base clanique et confessionnelle du pouvoir des Assad ? « Je vous choisirai, un à un, de la lignée de ma mère, de ma doctrine… »ÓÃÎÊÇÑßã¡æÇÍÏÇð æÇÍÏÇð¡ ãä ÓáÇáÉ Ããì æãä ãÐåÈí
Publiés dans de rares numéros de revue (Al-Karmel – nouvelle série – en 2011 par exemple) ou encore sur des sites Internet comme celui du quotidien égyptien Al-Watan, ces poèmes viennent de connaître leur première véritable édition(illustration du haut) par une maison d’édition de Haïfa, Al-Râya, en partenariat avec la Fondation Mahmoud Darwich.
Grâce à l’aide amicale de Houda Ayoub, je vous propose la traduction du premier de ces huit « textes/poèmes » ! Le texte a été édité le mieux possible, en fonction des différentes versions disponibles sur la Toile et donc légèrement différent par rapport à la lecture qu’en donne – vidéo à la fin du billet – le poète lui-même. Sa récitation, où se devine sa moquerie amère de l’enflure verbale des dictateurs d’hier et d’aujourd’hui, est introduite ainsi : Extraits du discours du dictateur arabe qui m’a chargé de l’écrire pour lui, et en son nom…)

ÎØÇÈ ÇáÌáæÓ – Discours de l’accession au trône
ÓÃÎÊÇÑ ÔÚÈí
Je choisirai mon peuple
ÓÃÎÊÇÑ ÃÝÑÇÏ ÔÚÈí
Je choisirai les personnes de mon peuple
ÓÃÎÊÇÑßã¡ æÇÍÏÇð æÇÍÏÇð¡ ãä ÓáÇáÉ Ããì æãä ãÐåÈí
Je vous choisirai, un à un, de la lignée de ma mère, de ma doctrine
ÓÃÎÊÇÑßã ßì ÊßæäæÇ ÌÏíÑíä Èí
Je vous choisirai afin que vous soyez dignes de moi
ÅÐä¡ ÃæÞÝæÇ ÇáÂä ÊÕÝíÞßã ßì ÊßæäæÇ ÌÏíÑíä Èí
Alors, arrêtez maintenant d’applau-dir- afin que vous soyez dignes de moi…
æÈÍÈí
De mon amour.
ÓÃÎÊÇÑ ÔÚÈì ÓíÇÌÇð áããáßÊì¡ æÑÕíÝÇð áÏÑÈí
Je choisirai mon peuple, comme une enceinte à mon royaume, comme un bas-côté à mon chemin
ÞÝæÇ ÃíåÇ ÇáäÇÓ ÃíåÇ ÇáãäÊÞæä ßãÇ ÊäÊÞì ÇááÄáÄÉ
Debout, vous que j’ai triés comme on le fait de perles !
áßá ÝÊì ÇãÑÃÉ
À-;- chacun une promise
æááÒæÌ ØÝáÇä Ýì ÇáÈÏÁ íÃÊì ÇáÕÈí
À-;- chaque couple deux enfants, le garçon en premier
æÊÃÊì ÇáÕÈíÉ ãä ÈÚÏ áÇ ËÇáË æáíÚã ÇáÛÑÇã
La fille par la suite, sans troisième, et que prospère l’amour…
Úáì ÓäÊì¡ ÝÃÍÈæÇ ÇáäÓÇÁ æáÇ ÊÖÑÈæåä
Selon ma loi ! Alors, aimez les femmes et ne les frappez point…
Åä ãÓåä ÇáÍÑÇã
si quelque impureté vient à les toucher
ÓáÇã Úáíßã ÓáÇã ÓáÇã
Que la paix soit sur vous !
ÓÃÎÊÇÑ ãóä íÓÊÍÞ ÇáãËæá ÃãÇã ãÏÇÆÍ ÝßÑí
Je choisirai celui qui méritera de comparaître devant les louanges de ma pensée
æãä íÓÊÍÞ ÇáãÑæÑ ÃãÇã ÍÏÇÆÞ ÞÕÑí
Celui qui méritera de passer devant les jardins de mon palais
ÞÝæÇ¡ ÃíåÇ ÇáäÇÓ Íæáí ÎÇÊã
Tenez-vous tous autour de moi comme une auréole
áäÕáÍ ÓíÑÉ ÍæÇÁ äÕáÍ ÃÍÝÜÇÏ ÂÏã
Pour que nous révisions la destinée d’È-;-ve, la destinée des descendants d’Adam
ÓÃÎÊÇÑ ÔÚÈÇð ãÍÈÇð¡ æÕáÈÇð¡ æÚÒÈÇð
Je vous choisirai, peuple aimant, solide et doux
ÓÃÎÊÇÑ ÃÕáÍßã ááÈÞÇÁ æÃäÌÍßã Ýì ÇáÏÚÇÁ áØæá
Je choisirai celui d’entre vous qui sera le plus apte à rester, le plus habile à souhaiter longue vie
ÌáæÓí
à mon trône
ÝÊÈÇð áãÇ ÝÇÊ ãä Ïæáò ãÒÞÊåÇ ÇáÒæÇÈÚ
Au diable les É-;-tats qu’ont déchirés les tempêtes
áÞÏ ÖöÞÊ ÐóÑÚÇð ÈÃãíÉ ÇáäÇÓ¡ íÇ ÔÚÈ íÇ ÔÚÈì ÇáÍÑ
Je me suis lassé de cette ignorance des gens ! Peuple ! Ô-;- mon peuple libre
ÝÇÍÑÓ
Alors, soit le gardien…
åæÇÆí ãä ÇáÝÞÑÇÁ¡ æÓÑÈ ÇáÐÈÇÈ æÛíã ÇáÛÈÇÑ
De l’air que je respire, contre les pauvres, les essaims de mouches, les nuages de poussière
æäÙøöÝ ÏÑæÈ ÇáãÏÇÆä ãä ßá ÍÇÝò¡ æÚÇÑò¡ æÌÇÆÚ
Nettoie les chemins des cités, des va-nu-pieds, des miséreux, des affamés
ÝÊÈÇð áåÐÇ ÇáÝÓÇÏ¡ æÊÈÇð áÈÄÓ ÇáÚÈÇÏ ÇáßÓÇáì
Au diable la corruption, au diable la misère des créatures oisives
ÓÃÎÊÇÑ ÔÚÈÇð ãä ÇáÃÐßíÇÁ¡ ÇáæÏæÏíä¡ æÇáäÇÌÍíä
Je choisirai un peuple fait de personnes intelligentes, aimantes, brillantes
æÊÈÇð áæÍá ÇáÔæÇÑÚ
Au diable la boue des chemins
ÓÃÎÊÇÑßã æÝÞ ÏÓÊæÑ ÞáÈí
Je vous choisirai selon la charte de mon cœur
Ýãóä ßÇä ãäßã ÈáÇ ÚáÉò Ýåæ ÍÇÑÓ ßáÈí
Et celui qui est sans défaut sera le gardien de mon chien
æãóä ßÇä ãäßã ØÈíÈÇð ÃõÚíøöäå ÓÇÆÓÇð áÍÕÇäí ÇáÌÏíÏ
Et celui qui sait soigner tiendra la bride de mon nouveau cheval
æãóä ßÇä ãäßã ÃÏíÈÇð ÃõÚíøöäå ÍÇãáÇð áÇÊÌÇå ÇáäÔíÏ
Et celui qui sait écrire ouvrira le chemin de l’hymne
æãóä ßÇä ãäßã ÍßíãÇð ÃõÚíøöäå ãÓÊÔÇÑÇð áÕß ÇáäÞæÏ
Et celui qui sait juger deviendra contrôleur de la monnaie
æãóä ßÇä ãäßã æÓíãÇð ÃõÚíøöäå ÍÇÌÈÇð ááÝÖÇÆÍ
Et celui qui est bien fait sera préposé aux scandales
æãóä ßÇä ãäßã ÞæíÇð ÃõÚíøöäå äÇÆÈÇð ááãÏÇÆÍ
Et celui qui est robuste sera le délégué aux éloges
æãóä ßÇä ãäßã ÈáÇ ÐåÈò¡ Ãæ áÂáÆ ÝáíäÕÑÝ
Et celui qui n’a ni´-or-ni perle, celui-là qu’il disparaisse !
æãóä ßÇä ãäßã ÈáÇ ÖÌÑ æãæÇåÈ ÝáíäÕÑÝ
Et celui qui ne connaît ni l’ennui ni le talent, celui-là qu’il disparaisse !
ÝáÇ æÞÊ ÚäÏì ááÞãÍ æÇáßÏÍ æáÃÚÊÑÝ
Je n’ai de temps ni pour le blé, ni pour le labeur, et sache
íÇ ÔÚÈí ÇáãäÊÞóì ÈíÏìøó
Ô-;- mon peuple, mon peuple choisi de mes propres mains
ÈÃäí ÃäÇ ÇáÍÇßã ÇáÚÇÏá
Que je suis le Bon Maître
ÃäÇ ÇáÍÇßã ÇáãÊÓÇãÍ æÇáÚÇÏá
Je suis le maître clément et juste
ßÑåÊ ÌãíÚ ÇáØÛÇÉ áÃä ÇáØÛÇÉ íÓæÓæä ÔÚÈÇð ãä ÇáÌåáÉ
J’ai pris en haine les tyrans car ils sont à la tête de peuples d’ignorants
æãä ÃÌá Ãä íäåÖ ÇáÚÏá ÝæÞ ÇáÐßÇÁ ÇáãÚÇÕÑ áÇ ÈÏ ãä
Pour que la justice se lève en ces temps subtils, il faut
ÈÑáãÇä ÌÏíÏ¡ æãä ÃÓÆáÉ
Un nouveau parlement, et des questions
æãäåÇ ãä ÇáÔÚÈ¡ íÇ ÔÚÈ¡ åá ßá ßÇÆä
Ainsi : qui est le peuple, cher peuple ? N’importe qui
íõÓãì ãæÇØä¿
peut-il être qualifié de « citoyen » ?
ÊõÑì åá íáíÞ Èãä åæ ãËáí Ãä íÞæÏ áÕÇ æÃÚãì æÌÇåáÇ¿
À-;- ton avis, est-il convenable qu’une personne comme moi commande voleurs, aveugles et ignorants ?
æåá ÊÞÈáæä áÓíÏßã Ãä íõÓÇæí ãÇ Èíäßã ÃíåÇ ÇáäÈáÇÁ
Acceptez-vous que votre maître vous traite, vous les nobles,
æÈíä ÇáÑÚÇÚ¿ ÇáíÊÇãì¿ ÇáÃÑÇãá¿
Comme la racaille ? Les orphelins ? Les veuves ?
æåá íÊÓÇæì åÐÇ ÇáÝíáÓæÝ ãÚ ÇáãÊÓæá¿ åá íÐåÈÇä Åáì
Et que ce philosophe et le mendiant soient sur un pied d’égalité ? Iront-ils…
ÇáÇÞÊÑÇÚ ãÚÇð ßí íÞæÏÇáÚæÇã ÓíÇÓÉ åÐÇ ÇáæØä¿
Voter ensemble pour que la plèbe gouverne la politique de cette nation ?
æåã ÃÛáÈíÊßã ÃíåÇ ÇáÔÚÈ¡ åã ÚÏÏñ áÇ áÒæã áå Åä ÃÑÏÊã
Car ils sont la majorité, ô peuple, et nul besoin d’un tel nombre si vous voulez
äÙÇãÇð ÌÏíÏÇð áãäÚ ÇáÝÊä
Un nouveau régime pour prévenir la discorde
ÓÃÎÊÇÑ ÃÝÑÇÏ ÔÚÈí
Je choisirai donc les personnes de mon peuple
ÓÃÎÊÇÑßã æÇÍÏÇð æÇÍÏÇð ßì ÊßæäæÇ
Je vous choisirai, un à un, afin que vous soyez…
ÌÏíÑíä Èì¡ æÃßæä ÌÏíÑÇð Èßã
Dignes de moi, et que je sois digne de vous
ÓÃãäÍßã ßá ÇáÍÞæÞ
Je vous accorderai tous les droits
ÓÃãäÍßã ÍÞ Ãä ÊÎÏãæäí
Je vous accorderai le droit de me servir
æÃä ÊÑÝÚæÇ ÕõæóÑí ÝæÞ ÌÏÑÇäßã
De dresser mon portrait haut sur les murs
ÝåÐÇ ÍÞ áßã
Car tel est votre droit
æãä ÍÞßã Ãä ÊÔßÑæäí áÃäí ÑÖíÊ Èßã ÃãÉ áí
Il est de votre droit de me remercier de bien vous vouloir comme nation
æãä ÍÞßã Ãä ÊÊãáæÇ ãáÇãÍ æÌåí Ýì ßá ÚÇã ÌÏíÏ
Il est de votre droit de vous délecter des traits de mon visage, à chaque an nouveau
ÓÃãäÍßã ßá ÍÞ ÊÑíÏæäå
Je vous accorderai tout droit que vous souhaitez
ÍÞ ÇáÈßÇÁ Úáì ãæÊ ßáÈ ÔÑíÏ
Le droit de pleurer la mort d’un chien errant
æÍÞ ÇáßáÇã Úä ÇáÓíÑÉ ÇáäÈæíÉ Ýì ßá ÚíÏ
Le droit d’évoquer l’exemple du prophète à chaque fête
æÍÞ ÇáÐåÇÈ Åáì ÇáÈÍÑ Ýì ßá íæã
Le droit d’aller à la mer tous les jours
áßõã Ãä ÊäÇãæÇ ßãÇ ÊÔÊåæä Úáì Ãí ÌäÈ ÊÑíÏæä äÇãæÇ
Le droit de dormir comme vous le souhaitez, de dormir du côté qu’il vous plaira
áßã ÍÞ Ãä ÊÍáãæÇ ÈÑÖÇí æÚØÝí
Vous avez le droit de rêver de me satisfaire, d’obtenir mes bonnes grâces
ÝáÇ ÊÝÒÚæÇ ãä ÃÍÏ
Ne craignez personne
ÓÃãäÍßã ÍÞøóßã Ýì ÇáåæÇÁ¡ æÍÞßã Ýì ÇáÖíÇÁ¡ æÍÞßã
Je vous accorderai votre droit à l’air, à la lumière
Ýí ÇáÛäÇÁ
au chant
ÓÃÈäí áßã ÌäÉ ÝæÞ ÃÑÖí ßõáæÇ ãÇ ÊÔÇÁæä ãä ØíÈÇÊí
Je vous construirai un paradis sur ma terre, mangez tout ce qui vous plaira de mes délices
æáÇ ÊÓãÚæÇ ãÇ íÞæá ãáæß ÇáØæÇÆÝ Úäí
N’écoutez pas ce que disent de moi les roitelets
æÃäí ÃÍÐÑßã ãä ÚÐÇÈ ÇáÍÓÏ
Je vous mets en garde contre les tourments de la jalousie
æáÇ ÊÏÎáæÇ Ýì ÇáÓíÇÓÉ ÅáÇ ÅÐÇ ÕÏÑ ÇáÃãÑ Úäí
Et ne vous mêlez pas de politique, sauf si l’ordre vient de moi
ÝÅä ÇáÓíÇÓÉ ÓÌäí
Car la politique est prison mienne
åäÇ ÇáÍßã ÔõæÑì¡ åäÇ ÇáÍßã ÔõæÑì
Ici, le gouvernement est concertation
ÃäÇ ÍÇßã ãõäÊÎóÈ
Je suis le -dir-igeant élu
æÃäÊã ÌãÇåíÑ ãõäÊÎöÈÉ
Et vous êtes les masses électorales
æãöä æÇÌÈ ÇáÔÚÈ Ãä íáãÓ ÇáÚÊÈÉ
Il appartient au peuple de quémander au seuil de la porte
æÃä íÊÍÑì ÇáÍÞíÞÉ ããä ÏÚÇå Åáíå¡ ÇÕØÝÇå¡ ÍãÇå ãä
De s’enquérir de la vérité auprès de celui qui l’a convié, qui l’a favorisé, qui l’a protégé…
ÇáÃÛáÈíÉ¡ æÇáÃÛáíÈÉ ãõÊÚöÈÉ ãõÊÚÈóÉ
De la majorité, et la majorité est fatigante et fatiguée
æãöä æÇÌÈ ÇáÔÚÈ Ãä íÊÈÑà ãä ßá ÝÑÏ äóåóÈ
Il est du devoir du peuple de renier celui qui aura pillé,
æÛÇÒá ÒæÌÉ ÕÇÍÈå¡ Ãæ Òäì¡ Ãæ ÛóÖÈ
qui aura courtisé la femme de son maître, qui aura commis l’adultère, qui se sera livré à la colère
æãöä æÇÌÈ ÇáÔÚÈ Ãä íÑÝÚ ÇáÃãÑ ááÍÇßã ÇáãõäÊÎóÈ
Il est du devoir du peuple de soumettre toute affaire à son -dir-igeant élu
æãä æÇÌÈí Ãä ÃæÇÝÞ¡ ãä æÇÌÈí Ãä ÃõÚÇÑöÖ
A moi d’accepter d’être d’accord ou de m’opposer
ÝÇáÃãÑ ÃãÑí¡ æÇáÚÏá ÚÏáí¡ æÇáÍÞ ãáß íÏìøó
La décision me revient, la justice est mienne, le droit m’appartient
ÝÅãÇ ÅÞÇáÊå ãä ÑÖÇí
Soit on est banni de mes faveurs
æÅãÇ ÅÍÇáÊå ááÓÑÇí
Soit on est traîné chez le gouverneur
ÝÍÞ ÇáÛóÖóÈ
Car le droit de se livrer à la colère
æÍÞ ÇáÑÖÇ¡ áí ÃäÇ ÇáÍÇßã ÇáãõäÊÎóÈ
Le droit d’être satisfait m’appartiennent, moi, le -dir-igeant élu
æÍÞ Çáåæì æÇáØóÑóÈ
Le droit à la passion, à l’ivresse du plaisir
áßã ßáßã¡ ÝÃäÊã ÌãÇåíÑ ãõäÊÎÈÉ
Sont vôtres, masses élues
ÃäÇ ÇáÍÇßã ÇáÍÑ æÇáÚÇÏá
Je suis le -dir-igeant, libre et juste
æÃäÊã ÌãÇåíÑí ÇáÍÑÉ ÇáÚÇÏáÉ
Et vous êtes les masses libres et justes
ÓääÔÆ ãäÐ ÇäÊÎÇÈí ÏæáÊäÇ ÇáÝÇÖáÉ
Nous créerons, avec mon élection, l’É-;-tat vertueux
æáÇ ÓÌä ÈÚÏ ÇäÊÎÇÈí¡ æáÇ ÔÚÑ Úä ÊÚÈ ÇáÞÇÝáÉ
Plus de prison après mon élection, plus de rimes rabâchées sur la lassitude des caravanes nomades
ÓÃõáÛí äÙÇã ÇáÚÞæÈÇÊ ãä ÏæáÊí¡ Ýãóä ÃÑÇÏ ÇáÊÃÝÝ¡ ÎÇÑÌ ÔÚÈí¡ ÝáíÊÃÝÝ
J’abolirai les châtiments -;- celui qui veut rouspéter hors de mon peuple, qu’il le fasse !
æãä ÔÇÁ Ãä íÊãÑÏ ÎÇÑÌ ÔÚÈí¡ ÝáíÊãÑÏ
Celui qui veut se révolter hors de mon peuple, qu’il le fasse !
ÓäÃÐä ááÛÇÖÈíä ÈÃä íÓÊÞíáæÇ ãä ÇáÔÚÈ¡ ÝÇáÔÚÈ ÍÑ
Nous consentirons à ceux qui sont en colère de démissionner du peuple, car le peuple est libre
æãä áíÓ ãäí æãä ÏæáÊí¡ Ýåæ ÍÑ
Il est libre, celui qui n’est pas de moi, et qui n’est pas de mon É-;-tat
ÓÃÎÊÇÑ ÃÝÑÇÏ ÔÚÈí¡ ÓÃÎÊÇÑßã æÇÍÏÇð æÇÍÏÇð
Je choisirai les personnes de mon peuple, je vous choisirai, un à un
ãÑÉ ßá ÎãÓ Óäíä
Une fois tous les cinq ans
æÃäÊã ÊÒßæääì ãÑÉ ßá ÚÔÑíä ÚÇãÇð ÅÐÇ áÒã ÇáÃãÑ¡ Ãæ ãÑÉ
Et vous me confirmerez une fois tous les vingt ans s’il le faut, ou bien une fois…
ááÃÈÏ
Pour l’éternité !
æÅä áã ÊÑíÏæÇ ÈÞÇÆí¡ áÇ ÓãÍ Çááå¡ ÅÐÇ ÔÆÊã Ãä íÒæá ÇáÈáÏ
Et si vous ne voulez pas que je reste – à Dieu ne plaise ! Si vous voulez la perte du pays
ÃÚÏÊ Åáì ÇáÔÚÈ ãÇ åÈø Ãæ ÏÈø ãä ÓÇÈÞ ÇáÔÚÈ ßí Ããáß
Je ramènerai le peuple à la populace d’avant pour me garder
ÇáÃßËÑíÉ¡ æÇáÃßËÑíÉ ÝæÖì
la majorité, et la majorité est anarchie faute de chef
ÃÊÑÖì¡ ÃÎì ÇáÔÚÈ! ÃÊÑÖì ÈåÐÇ ÇáãÕíÑ ÇáÍÞíÑ ÃÊÑÖì¿
Voudrais-tu, mon peuple mon frère, voudrais-tu d’un destin si lamentable ?
ãÚÇÐß
À-;- toi ne plaise !
ÝÞÏ ÇÎÊÑÊõ ÔÚÈí æÇÎÊÇÑäí ÇáÂä ÔÚÈí
J’ai choisi mon peuple et mon peuple m’a maintenant choisi
ÝÓíÑæÇ Åáì ÎÏãÊí Âãäíä
Vaquez en paix à mon service
ÃÐäÊ áßã Ãä ÊÎÑæÇ Úáì ÞÏãìøó ÓÇÌÏíä
Je vous permets de vous jeter à mes pieds
ÝØæÈì áßã¡ Ëã ØæÈì áäÇ ÃÌãÚíä
Heureux soyez-vous, heureux soyons-nous tous !
Ibn Asahara ibn Asahara Mohammed Mohamed Fakkak.




Add comment
Rate the article

Bad 12345678910 Very good
                                                                                    
Result : 100% Participated in the vote : 1