Khouribga- la république marocaine nationale, démocratique populaire, progressiste révolutionnaire.

mohammed mohammed fakkak
2015 / 4 / 7



pour bien comprendre ce qui se passe derrière la façade,sur quelles forces sappuie le régime fasciste rasciste, il faut avoir étudié le caractére du petit bourgeois brimé.

Le 07.04.2015.
« Ah ! La chute de la révolution.coment ? Pourquoi ?quand ? Quelle leçon tu me donne ?
Le petit fils le plus fidèle du plus hardi de la révolution, de la république marocaine Mohammed ibn Abdel Karim el khatabi .
Ibn Zahra, ibn Zahra, Mohammed Mohamed Fakkak.
« À-;- vous toutes mes citoyennes, vous tous, mes citoyens, mon grand maitre le peuple marocain, qui m’inspirés,
Aidé
Enseigné
Supporté
Critiqué
Encouragé
Et lu,
Merci pour cette expérience de vie divine avec vous. »
L’état d’esprit des révolutionnaires est toujours nouveau, ses humeurs décidées, la chute de la révolution qui s’était produite par cause de la trahison des hypocrites politicards de roseau, des mouchards, ,des nouveaux judas, des nouveaux, garçonnets du roi, des nouveaux chiens de garde, qui baignent, qui nagent, qui plongent très bien dans la baignoire de la trahison, dans le trafic, les semaines précédentes avait apporté une lueur nouvelle à mes espoirs, elle ouvrait une brèche en mon cœur meurtri par toute la souffrance qui me coupe le souffle « et me donne des envies terribles d’hurler ma souffrance, ma douleur immense, ma tristesse, de m’angoisse.
Mon peuple souvient toujours de quoi sont capables ces traitres, ses hommes de boutiques politiques surtout lorsqu’il s’agit d’intérêt, de bassesse, de richesse, des achats et de pouvoir, de trahir l’honneur du parti prolétaire du mouvement marxiste – léniniste révolutionnaire, au lieu de s’engager -dir-ectement dans la lutte de classe, dans le mouvement ouvrier marocain révolutionnaire, donner plus des efforts pour créer le parti de classe, d’évoluer le programme historique de toute la classe ouvrière, par nos luttes, nos sangs, nos larmes, d’inaugurer le combat révolutionnaire, de tracer pour l’actualité génération la nouvelle voie, le nouveau projet qui mène jusqu’à la conquête de la commune de rabat, de l’école, de la faculté, de l’université du peuple, de pouvoir d’état républicain, démocratique, populaire, révolutionnaire, moderne, international et indépendant.
« Ce n’est pas par hasard – au contraire. Il fallait une base solide, préalable à ceux-ci, pour qu’ils puissent former un parti ouvrier marocain ayant un but et un programme unitaires et réaliser dans la pratique l’unité du prolétariat du Maroc en une seule et même classe »
Nous révoltons pour que le prolétariat marocain s’organise d’abord en classe, donc en parti, puis en classe dominante, et plus avancée, plus radicalisée.il faut nous donner au parti communiste- marxiste – léniniste socialiste un rôle véritablement conscient et efficient dans la révolution. C’est ce qui le distinguera de tous les autres partis bourgeois ou petits – bourgeois qui sont enfoncés dans les ténèbres du régime royal anti- national, anti- démocratique, anti- populaire il faut continuer les combats, les luttes essentiellement contre les déviations ,les hypocrites, les réformistes, les improvisations- le révisionnisme selon la formule de Marx du capital.
Ici l’essentiel dans la révolution, c’est que le prolétariat marocain doive comprendre qu’il faut abattre le régime royal colonialiste, dictateur, réactionnaire, néo- bourgeois, et le mettre en poussière, en pièces.
« Il faut tirer les bons leçons, et montrer au prolétariat ce qu’impliquait sa revendication de la république sociale :
« Pour cela il fallait démasquer la prétention de l’état d’être La force armée pour la protection du bien public, d’être l’incarnation des intérêts généraux de la société, de dominer les intérêts privés en concurrence en les maintenant à leur place respective : bref, il a fallu mettre à nu le secret du pouvoir d’état, à savoir qu’il est l’instrument du despotisme de classe, pour que les ouvriers, cessant de vouloir la république comme jeu politique de l’ancien système des classes -;- le saisissent comme moyen révolutionnaire pour mettre en pièces la domination de classe- elle –même »
,
« Relation et naufrages – XXXIII, XXXIV
Le Manifeste de la Commune de Paris (2/2) »
Le Manifeste de la Commune de Paris (1/2)
29 mars 2013 - 12:00

« La Commune de Paris, du 26 [ou 18] mars 1871 jusqu’à la « semaine sanglante » (21 – 28 mai), désigne une période révolutionnaire à Paris, qui, contre le gouvernement, issu de l’Assemblée nationale qui vient d’être élue, établit une organisation ouvrière comme organisatrice de la ville, et gouvernement prolétarien. Dans plusieurs autres villes de France (Marseille, Lyon, Saint-É-;-tienne, Toulouse, Narbonne, Grenoble, Limoges) des communes sont proclamées à partir du 3 mars 1871, mais elles furent toutes rapidement réprimées. Pour Karl Marx, c’est la première insurrection prolétarienne autonome. » [source et détails]

Ce manifeste a été publié par le journal Le Cri du Peuple le 27 mars 1871. Il condense les principes fondateurs de l’organisation alors mise en place. On y retrouve un certain nombre d’idéaux de l’époque, qui ne perdent pourtant pas une ride. Plutôt que de vous le donner d’un bloc, et de commenter ensuite, je vais insérer mes remarques au fur et à mesure, la chose sera plus vivante. Le tout se fera en deux parties. Ah, et je vous propose le texte original au format pdf .

Paris par la révolution du 18 mars, par l’effort spontané et courageux de sa Garde nationale, a reconquis son autonomie, c’est-à--dir-e le droit d’organiser sa force publique, sa police et son administration financière.

Au lendemain de la défaite sanglante et désastreuse que la France vient de subir, comme le châtiment de soixante-dix ans d’empire, de monarchie, de réaction cléricale, parlementaire, autoritaire et centralisatrice, notre patrie se relève, ressuscite, commence une vie nouvelle et reprend la tradition des anciennes communes de la Révolution française, qui lui a donné la victoire, mérité le respect et la sympathie des nations dans le passé, et qui lui donnera l’indépendance, la richesse, la gloire pacifique et l’amour des peuples dans l’avenir.

Jamais heure ne fut plus solennelle. Cette révolution, que nos pères ont commencée avec tant d’abnégation et d’héroïsme par les artisans du Moyen Age, qui a coûté la vie à tant de héros glorieux ou obscurs, va se consommer sans lutte sanglante, par la toute-puissance de la volonté populaire qui se prononcera souverainement en déposant son bulletin dans l’urne. Pour assurer le triomphe de l’idée révolutionnaire et communale dont nous poursuivons le pacifique accomplissement, il importe d’en déterminer les principes généraux et d’en formuler le programme que vos mandataires devront réaliser et défendre.

Je ne suis pas sûr de saisir ce qui est entendu par « artisans du moyen âge ». Peut-être est-ce un idéal du travail autonome, de la ré-appropriation de l’outil de travail par le travailleur ? Il ne faut pas oublier que nous sommes dans un contexte idéologique socialiste, au sens originel du terme : le proudhonisme et le marxisme sont des concepts relativement neufs, et surtout, séduisants.

Un autre idéal, celui d’une révolution pacifique. Mais peut-il en être autrement ? Ils n’allaient pas proclamer une révolution armée. Le pays sort d’une guerre, il est assez clair que la paix est souhaitable et souhaitée par chacun, d’autant que cette guerre, justement, a été un fiasco qui sera vécu comme une humiliation pendant des décennies ensuite.


La commune est la base de tout état politique, comme la famille est l’embryon des sociétés. Elle doit être autonome, c’est-à--dir-e se gouverner et s’administrer elle-même suivant son génie particulier, ses traditions, ses besoins d’exister comme personne morale conservant dans le groupe politique, national et fédéral, son entière liberté, son caractère propre, sa souveraineté complète comme l’individu au milieu de la cité.

Pour assurer le développement économique le plus large, l’indépendance et la sécurité nationale et territoriale, elle peut et doit s’associer, c’est-à--dir-e se fédérer avec les autres communes ou association de communes qui composent la nation. Elle a, pour la décider, les affinités de race, le langage, la situation géographique, la communauté de souvenirs, de relation et d’intérêts.

L’autonomie de la commune garantit au citoyen la liberté, l’ordre à la cité, et la fédération de toutes les communes augmente, par la réciprocité, la force, la richesse, les débouchés et les ressources de chacune d’elles, en la faisant profiter des efforts de toutes.

L’idée de base est donc une atomisation de la nation, au sens où elle serait avant tout une fédération de communes – de cantons, pourrait-on -dir-e. Il est logique qu’une idée de cette nature émerge, puisque c’est la ville de Paris qui, au moment où est écrit ce texte, revendique une autonomie, si ce n’est l’indépendance, vis-à-vis de la nation. Dès lors, elle transpose son cas particulier à l’ensemble du pays.

Au-delà de l’idée, on peut voir cela comme un moyen de saper l’autorité de la nation dans les autres villes de France, et pourquoi pas comme un appel à d’autres « prises d’autonomies ».

C’est cette idée communale poursuivie depuis le XIIème siècle, affirmée par la morale, le droit et la science, qui vient de triompher le 18 mars 1871.
Elle implique, comme force politique, la République, seule compatible avec la liberté et la souveraineté populaire.

La République, donc, à laquelle les communes délèguent ce qui n’est pas du ressort de leur souveraineté propre : monnaie, armées, « haute justice »… Sur le modèle du fédéralisme, comme je l’ai dit.

Remarquez aussi la mention de la souveraineté populaire, chose importante dont on reparlera.

> Seconde partie
« Relation et naufrages – XXXIII, XXXIV
Le Manifeste de la Commune de Paris (2/2) »
5 réponses à Le Manifeste de la Commune de Paris (1/2)
1. Zipanu :
29 mars 2013 à 13:33
Wow, super intéressant, on comprend mieux les aspirations par le contexte. Merci
J’ai fais une petite recherche sur les artisans du moyen âge, il s’agit des marchands qui ont pu défier les nobles en s’enrichissant, ils établissaient des villes assez autonomes pour favoriser leurs commerces (avec une relative liberté induite par le besoin de commercer), c’étaient les communes d’Espagne et d’Italie. Par opposition au pouvoir conféré de naissance, c’est bien la réappropriation du travail par le travailleur.
Il faut -dir-e aussi que les royaumes n’ont cessés de lutter pour un « empire unique », et que cette forme d’autonomie est un refuge face au totalitarisme.
Cela à dû engendrer des fédérations et des confédérations dans la pratique.
Répondre
2. gertrude :
29 mars 2013 à 17:39
Très intéressant comme sujet !
Il me semble que la Commune de Paris est une révolution typiquement française, les artisans du moyen-âge cités dans ce manifeste (« nos pères ») ne sont donc probablement pas des Italiens ou des Espagnols.
N.B. : en Italie, les marchands étaient tout de même de riches banquiers, pas tout-à-fait des ouvriers, ils se sont aussi transmis le pouvoir de père en fils sans être nobles pour autant…
Répondre
o Zipanu :
30 mars 2013 à 11:55
Oui, imprécisions, italiens et espagnols ne sont probablement pas les inspirateurs -dir-ects des auteurs révolutionnaires mais les communes d’Italie et d’Espagne furent les précurseurs.
Et effectivement ce n’était pas des ouvriers, mais Alcuinn ci dessous l’explique bien, cette histoire de perception différente.
Répondre
3. Alcuinn :
29 mars 2013 à 18:15
Oui, il y a eu le Dodécapole en Alsace, confédération de cités autonomes (de 1354 à 1679). Une manière pour ces cités d’exister au niveau international, sans pour autant être absorbée ni par la France, ni par les autres royaumes du Saint Empire. Il y a un bref article sur Wikipédia.
Peut-être aussi que les « artisans » décrit ne correspondent pas à l’idée que l’on peut se faire de l’artisan actuellement : le concept a fluctué depuis l’antiquité (il n’y avait pas d’artistes en Grèce Antique, seulement des artisans, par exemple). Et je pense justement, que l’image du moyen-âge était bien différente de celle qu’on a maintenant : peut-être que ce sont les associations de travailleurs libres, regroupés par corporations, qui inspirent le Manifeste.
(Ces corporations ont été abrogées peu après 1789. Mais elles proposaient une sorte d’assurance-chômage, on en parlera dans la deuxième moitié)
Content que ça vous intéresse
Répondre
o Zipanu :
30 mars 2013 à 12:08
Je pensais aussi aux corporations, mais elles ne sont pas liées aux concepts des communes. Par contre le XIIe siècle correspond à l’apparition des communes italiennes.
Et il n’y avait pas que des ouvriers dans cette histoire, il y a bien des marchands, des petits patrons, et des intellectuels à travers eux, qui sont eux, peut-être au plus proche de l’écriture de ce texte.
On peut imaginer qu’ils ont dû réunir habilement des éléments qui n’ont peut être pas de stricte cohérence historique pour garantir l’efficacité de la présentation de leur idéologie, afin que chacun s’y retrouve.

La Commune de Paris
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Pottier écrit le poème qui deviendra les paroles de l Internationale en juin 1871, en pleine répression versaillaise. En 1888, l ouvrier lillois Pierre Degeyter met ce poème en musique. Et c est à partir du congrès d Amsterdam de la IIème Internationale en 1904 que ce chant devient l hymne du mouvement ouvrier mondial.
musique simple
musique fanfare
Français | Anglais | Allemand | Italien | Espagnol | Catalan | Portugais
Debout ! les damnés de la terre
Debout ! les forçats de la faim
La raison tonne en son cratère :
C’est l’éruption de la fin
Du passé faisons table rase
Foule esclave, debout ! debout !
Le monde va changer de base :
Nous ne sommes rien, soyons tout !
Refrain
C’est la lutte finale
Groupons nous et demain
L’Internationale
Sera le genre humain.
Il n’est pas de sauveurs suprêmes :
Ni dieu, ni césar, ni tribun,
Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes !
Décrétons le salut commun !
Pour que le voleur rende gorge,
Pour tirer l’esprit du cachot
Soufflons nous-mêmes notre forge,
Battons le fer quand il est chaud !
L’Etat opprime et la loi triche -;-
L’Impôt saigne le malheureux -;-
Nul devoir ne s’impose au riche -;-
Le droit du pauvre est un mot creux.
C’est assez languir en tutelle,
L’égalité veut d’autres lois -;-
« Pas de droits sans devoirs, dit-elle,
« Egaux, pas de devoirs sans droits ! »
Hideux dans leur apothéose,
Les rois de la mine et du rail
Ont-ils jamais fait autre chose
Que dévaliser le travail ?
Dans les coffres-forts de la bande
Ce qu’il a créé s’est fondu.
En décrétant qu’on le lui rende
Le peuple ne veut que son dû.
Les Rois nous saoulaient de fumées.
Paix entre nous, guerre aux tyrans !
Appliquons la grève aux armées,
Crosse en l’air et rompons les rangs !
S’ils s’obstinent, ces cannibales,
A faire de nous des héros,
Ils sauront bientôt que nos balles
Sont pour nos propres généraux.
Ouvriers, Paysans, nous sommes
Le grand parti des travailleurs -;-
La terre n’appartient qu’aux hommes,
Le riche ira loger ailleurs.
Combien de nos chairs se repaissent !
Mais si les corbeaux, les vautours,
Un de ces matins disparaissent,
Le soleil brillera toujours !

Arise ye workers from your slumbers
Arise ye prisoners of want
For reason in revolt now thunders
And at last ends the age of cant.
Away with all your superstitions
Servile masses arise, arise
We ll change henceforth the old tradition
And spurn the dust to win the prize.
Refrain
So comrades, come rally
And the last fight let us face
The Internationale unites the human race.
So comrades, come rally
And the last fight let us face
The Internationale unites the human race.
No more deluded by reaction
On tyrants only we ll make war
The soldiers too will take strike action
They ll break ranks and fight no more
And if those cannibals keep trying
To sacrifice us to their pride
They soon shall hear the bullets flying
We ll shoot the generals on our own side.

No saviour from on high delivers
No faith have we in prince´-or-peer
Our own right hand the chains must shiver
Chains of hatred, greed and fear
E er the thieves will out with their booty
And give to all a happier lot.
Each at the forge must do their duty
And we ll strike while the iron is hot.

Wacht auf, Verdammte dieser Erde,
die stets man noch zum Hungern zwingt!
Das Recht wie Glut im Kraterherde
nun mit Macht zum Durchbruch dringt.
Reinen Tisch macht mit dem Bedraenger!
Heer der Sklaven, wache auf!
Ein nichts zu sein, tragt es nicht laenger
Alles zu werden, stroemt zuhauf!
Volker, hoert die Signale!
Auf, zum letzten Gefecht!
Die Internationale
Erkaempft das Menschenrecht
Es rettet uns kein hoeh res Wesen
kein Gott, kein Kaiser, noch Tribun
Uns aus dem Elend zu erloesen
konnen wir nur selber tun!
Leeres Wort: des armen Rechte,
Leeres Wort: des Reichen Pflicht!
Unmundigt nennt man uns Knechte,
duldet die Schmach laenger nicht!

Gewoelbe, stak und fest bewehret
die bergen, was man -dir- entzog.
Dort lieft das Gut, das -dir- gehoeret
und um das man dich betrog.
Ausgebeutet bist du worden!
ausgesogen bis aufs Mark!
Auf Erden rings, in Sued und Norden,
das Recht is schwach, die Willkuer stark!

In Stadt und Land, ihr Arbeitsleute,
wir sind die staerkste Partei n
Die Muessiggaenger schiebt beiseite!
Diese Welt muss unser sein!
Unser Blut sei nicht mehr der Raben
und der maechtigen Geier Frass!
Erst wenn wir sie vertrieben haben
dann scheint die Sonn ohn Unterlass!
Abscheulich blaehn sich diese Goetzen,
die Herrn von Schacht und Eisenbahn.
Sie machten unser Blut zu Schaetzen,
sie haven unser Gut vertan.
In Stahltresoren liegt s vergraben.
Wann machen wir die Rechnung glatt?
Das Volk will ja nur wiederhaben,
was man dem Volk gestohlen hat.

Die Herrscher machten uns betrunken.
Der Zauber muss zu Ende sein.
Drum werft ins Heer der Freiheit Funken!
Dann schlaeft es mit dem Kolben drein.
Wenn sie uns zwingen, die Barbaren,
Soldat zu spielen noch einmal,
wir werden unsre Kugeln sparen
fuer unsren eignen General.

Compagni avanti, il gran partito
Noi siamo dei lavorator’
Rosso un fiore in petto ci è fiorito,
Una fede ci è nata in cuor’.
Noi non siamo più nell’officina
Entro terra nei campi in mar
La plebe sempre all’opra china
Senza ideali in cui sperar.
Su lottiamo, l’ideale
Nostro fine sarà
L’Internazionale
Future umanità !
Un gran stendardo al sol fiammante
Dinanzi a noi, glorioso va !
Noi vogliamo per esso siamo infranti
Le catene alla libertà.
Che giustizia afin venga vogliamo
Non più servi, non più signor’ !
Fratelli tutti esser’ dobbiamo
Nella famiglia del lavor’.
Lottiamo lottiamo, la terra sia
Di tutti uguale proprietà
Più nessuno nei campi dia
L’opra ad altri che in ozio sta
E la macchina sia alleata
Non nemica ai lavorator’
Così-;-, la vita rinnovata
All’uomo darà pac’ e amor’.
Avanti, avanti, la vittoria
È-;- nostra, e nostro è l’avvenir’ !
Più civile e giusta la storia
Un’altra era sta per aprir’.
Largo a noi ! All’alta battaglia
Noi corriamo per l’ideal’
Via largo ! Noi siamo la canaglia
Che lotta per il suo Germinal !

Arriba, parias de la Tierra.
En pie, famélica legió-;-n.
Atruena la razó-;-n en marcha,
Es el fin de la opresió-;-n.
Del pasado hay que hacer añ-;-icos,
Legió-;-n esclava en pie a vencer,
El mundo va a cambiar de base,
Los nada de hoy todo han de ser.
Agrupémonos todos,
En la lucha final.
El género humano
Es la internacional.
Ni en dioses, reyes ni tribunos,
Está-;- el supremo salvador.
Nosotros mismos realicemos
El esfuerzo redentor.
Para hacer que el tirano caiga
Y el mundo siervo liberar,
Soplemos la potente fragua
Que el hombre libre ha de forjar.
La ley nos burla y el Estado
Oprime y sangra al productor.
Nos da derechos irrisorios,
No hay deberes del señ-;-or.
Basta ya de tutela odiosa,
Que la igualdad ley ha de ser,
No má-;-s deberes sin derechos,
Ningú-;-n derecho sin deber.

Amunt els damnats de la terra,
Amunt els qui pateixen fam,
La força pel dret és vençuda,
S acosta el bell temps de la pau.
Del passat destruïm misèries,
Esclaus aixequeu vostres cors,
La terra serà tota nostra,
No hem estat res i ho serem tot.
É-;-s la lluita final,
Unim-nos i demà
La internacional
Serà el gènere humà. (bis)
No esperes salvacions supremes
De déus, de reis ni de tirans,
Obrer, és la sang de tes venes
La que triomfant et salvarà.
La força del tirà sotmesa
Ton puny deixarà quan voldràs-;-
Atiem la fornal encesa,
El ferro és fill del nostre braç.
Obrers, camperols, la batalla
Ha començat i finirà,
La terra és per qui la treballa,
Qui no treballe morirà.
Si del cel de la nostra terra
Foragitem dels corbs l estol,
Pau ferma seguirà a la guerra
I sempre més brillarà el sol.

De pé, ó-;- vitimas da fome!
De pé, Famélicos da Terra!
Da idéia a chama já-;- consome
A crosta bruta que a soterra.
Cortai o mal bem pelo fundo!
De pé, de pé nã-;-o mais senhores
Se nada somos, em tal mundo,
Sejamos tudo, ó-;- produtores!
Bem unidos, façamos,
Nesta luta final
Duma terra sem amos
A Internacional!
Messias, Deus, chefes supremos,
Nada esperamos de nenhum!
Sejamos nó-;-s que conquistemos
A terra-mã-;-e livre e comum!
Para nã-;-o ter protestos vã-;-os,
Para sair deste antro estreito,
Façamos nó-;-s, por nossas mã-;-os,
Tudo o que a nó-;-s nos diz respeito!
Crime de rico a lei o cobre,
O Estado esmaga o oprimido:
Nã-;-o há-;- -dir-eitos para o pobre,
Ao rico tudo é permitido.
À-;- opressã-;-o nã-;-o mais sujeitos!
Somos iguais todos os seres.
Nã-;-o mais deveres sem -dir-eitos,
Nã-;-o mais -dir-eitos sem deveres!
Abominá-;-veis na grandeza,
Os reis das minas e da fornalha
Edificaram a riqueza
Sobre o suor de quem trabalha.
Todo o produto de quem sua
A corja rica o recolheu.
Querendo que ela o restitua,
O povo só-;- quer o que é seu.
Fomos de fumo embriagados.
Paz entre nó-;-s, guerra aos senhores!
Façamos greve de soldados!
Somos irmã-;-os trabalhadores!
Se a raça vil cheia de galas
Nos quer à força canibais,
Logo verá-;- que as nossas balas
Sã-;-o para os nossos generais!
Somos o povo dos ativos,
Trabalhador, forte e fecundo.
Pertence a terra aos produtivos:
Ó-;- parasita, deixa o mundo!
Ó-;- parasita, que te nutres
Do nosso sangue a gotejar,
Se nos faltarem os abutres,
Nã-;-o deixa o Sol de fulgurar!



Ibn zahra ibn zahra mohammed mohammed fakkak.




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