Regardes philosophique sur la Mondialisation: Présentation ý

Rawaa Mahmoud Hussain
2012 / 9 / 28

Regardes philosophique sur la Mondialisation, sous la direction de Jocelyne ýCouture et Stéphanie Courtois, Québec, Presses de l Université du Québec, 2005, 230 ýp. ý
ISBN 2-7605-1346-7ý
Présenté Par
Rawaa Mahmoud Hussain
[email protected] ý
ý Le livre est composé de quatre parties et quatorze chapitres que discuter aspects ýdifférents comme: idéologie, impérialisme et néolibéralisme, l’empire, la justice, libre-ýéchange, le principe de précaution, économie mondialisée, nations, communauté, ýredistribution, ressource naturelle, efficacité linguistique, l’impartialité, États-nations, ýla philosophie politique, le nationalisme cosmopolite, lien civique, démocratie et ýmondialisation, le constitutionalisme globale, normativité et libre démocratique, le ýlégitimité politique, et etc.ý
ý Sur idéologie, impérialisme, néolibéralisme et la signification de la mondialisation, ýJocelyne Couture et Stéphanie Courtois indiquent que la documention sur le sujet est ýactuellement si danse et diversité, elle touche tant dans de secteurs d’études ýý(sociologie, économie, droit international, philosophie, science politique) qu’il convient ýau préalable de délimiter minimalement le phénomène couvert par cette notion, ne ýserait-ce que de manière provisoire. Se pose en particulière la question des inégalités ýsocioéconomique de plus en plus effarantes à l’échelle globale et de la natures des ýobligations morales qu’ont les pays riches à l’endroit des pays pauvres ou mois bien ýnantis. Les problèmes de justice distributive au plan international mettent cependant ýen jeu non seulement des biens matériels comme les richesses et les rescousses ýnaturelles, mais également symbolique comme la langue ou des biens culturels. L’idée ýd’une justice distributive à l’échelle internationale soulève également d’autres ýquestions, notamment celle de savoir si les principes de justice el les conceptions de ýl’impartialité sont les même à l’échelle nationale et mondiale. ý
ý Kai Nielsen sur “La Mondialisation au service de l’empire” montre que ýimpérialisme est en voie de supplanter mondialisation. Les États-Unis, avec leurs ýaspirations impériales et leur tendance hégémonique à contrôler le monde, se parent ýsans vergogne du manteau de l’empereur. Cet empire, tout en proclament ýeffrontément les valeurs de la liberté, est de plus en dominateur et il constitue une ýmenace pour le monde aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de ses frontière ýofficielle. Les principaux empires capitalistes pillent le reste du monde dans l’espoir ýque l’accumulation par dépossession leur permettra de sauver leur capital en étendent ýl’espace de sa reproduction. Dans ce cas, nous pouvons voir comment le capitalisme ýgénère l’impérialisme, et la mondialisation doit être conçue comme supraterritorialité. ýL’impérialisme relativement à la mondialisation comme de changement social et de ýstructuration du monde.ý
ý Elliott J. Soifer discute les perspectives sur le libre-échange considérant que si la ýdistribution des revenues se situait au point a, alors les règles du commerce mondial ýdevraient être changées car il existe un ensemble de règles plus efficace nous ýpermettant d’atteindre le point e. Cette affirmation est étayée par deux hypothèses: ýpremièrement, le libre-échange garantit que la distribution des revenues sera ýmaximisée; deuxièmes, n’importe quel point situé sur la ligne est justifiable s’il a été ýatteint par un processus équitable.ý
ý Jean-Christophe Mathias sur “Le Principe de précaution: Responsabilité ou ýimposture?” indique que le principe de précaution, tout d’abord adopté dans le ýprogramme du gouvernement fédéral allemand en 1976, et dont la seconde conférence ýinternationale sur la protection de la mer du Nord en 1987 à Londres, à été ýinternationalement reconnue en 1992, par la déclaration issue du Sommet de la Terre ýde Rio, et dans le traité de Maastricht en 1992, dans le droit positif français avec la loi ýBarnier de 1995, et il fait l’objet d’une communication de la Commission européenne ýen 2000. Le thème du principe de précaution s’impose comme l’élément ýincontournable des débats ayant trait aux problèmes de santé publique et ýd’environnement. Le développement durable est en réalité un concept ýschizophrénique, qui voudrait faire accroire que la durabilité économique de la notion ýde développement économique. Le principe de précaution est compris comme pouvant ýêtre à tout moment révisé, ce qui signifie qu’il interdit à la puissance publique de ýposer, justement, une interdiction – par définition définitive et absolue. Cette ýconception marquée par cet extraordinaire si possible qui rejette l’élimination du risque ýdans le néant de l’indétermination légale la plus complète. Le principe de précaution ýconsiste donc à ne surtout pas prendre le risque de gêner le développement ýtechnoscientifique, oublie la perspective apocalyptique qui est pourtant inhérent au ýdéveloppement technocapitaliste, et se révèle donc n’être qu’un instrument au service ýde la raison instrumentale. ý
ý Pierre-Yves Néron discute “La Justice distributive dans une économie mondialisée: ýNations, communauté et redistribution,” et Pierre-Yves Bonin demande: “Qu’est-ce ýqu’une ressource naturelle? ”. Bonin affirme que le partage des ressources naturelles ýfigure au nombre des principaux arguments invoqués en faveur d’une répartition ýinternationales des richesses. Ils peuvent utilement être regroupée selon les catégories ýsuivants: 1) mineras; 2) sol et terres arables; 3) faune el flore; 4) sources d’énergie; 5) ýressources environnementales. Le problème de la naturelle des ressources naturelles à ýattribuer à chaque ressources une valeur acceptable par des peuple aux échelles des ývaleurs extrêmement diverses, et à concerner le rôle de ces ressources dans le ýdéveloppement économique. Les ressources naturelles comptent pour peu dans le ýdéveloppement économique des pays qui les possèdent, une bonne parie de l argument ýdu partage des ressources naturelle sera d’intérêt purement théorique. ý
ý David Robichaud sur: “ Justice et efficacité: Deux arguments normatifs ” considère ýl’émergence d’une langue internationale et la menace qui pèse sur plusieurs culturelles ýminorités et langue. Tellement, deux mouvements qui semblent irréconciliables: le ýpremier, dirigé par un idéal d’efficacité linguistique; le second dirigé par un idéal de ýrespect égal dû aux langues, aux communautés qui les parlent, qui aspire à protéger ýune majorité ou la totalité des langues nationales et vernaculaires. Les handicaps sont ýcependant des certitudes statistiques que nous acceptons de prendre en charge ýcollectivement puisque les victimes, au nombre desquelles nous sommes susceptibles ýde compter, ne sont pas responsable de leur sort. C’est son environnement qui ne lui ýpermet pas de maximiser la valeur de ses ressources communicationnelles. La langue ýtransmise risque d être reçue des parents et les exceptions seront souvent le résultat ýd’événement malheureux: conquêts, déportations, émigration ou construction ýnationale. ý
ý Alors que Idil Boran souligne sur: “Une Nouvelle conception de l’impartialité pour ýune justice globale? ” l’impartialité comme l’objet occupe une place important dans la ýphilosophie morale moderne et étique globale; Patrick Turmel demande: “Quelles ýleçons la philosophie politique doit-elle tirer des études sur la ville globale?”. ý
ý Michelle Seymour recherche pour un sujet intéressant qui est: “Le Nationalisme ýpolitique”. Il confirme que la proche nationaliste et cosmopolite repose sur un ýpluralisme axiologique, puisque l’on admet aux régimes de droits, individuels et ýcollectifs, à l’intention des personnes et des peuples. Le droit des peuples pourra se ýtraduire aussi par des protections institutionnelles applicables aux minorités nationales ýqui sont des extensions de majorité nationales voisines et par une politique de ýmulticulturalisme à l’intention des groups issus de l’immigration. Seymour défende la ýversion du libéralisme qu autorise une attitude de tolérance libérale à l’égard d’une ýtelle société, mais non à l’égard d’une société décente hiérarchisée. La raison en est qu ýl’on ne peut présumer que la population au sein d’une société hiérarchisée approuve ýl’orientation communautarienne prise par les autorités en place. Le libéralisme politique ýadopte une attitude de tolérance à l’égard des sociétés qui se seraient vraiment donné ýdes assises communautarienne, mais on ne peut arriver à cette conclusion lorsque la ýsociété n’est pas clairement démocratique. ý
ý Le livre se termine pour les recherches suivantes: “Lien civique et minorités ýnationales,” par Geneviève Nootens; “La Mondialisation selon Fernand Dumont,” par ýSerge Cantin; “Démocratiser et rééquilibrer le constitutionalisme global: ýmondialisation, normativité et liberté démocratique,” par Jocelyne Maclure; et “Le ýPrimat de la légitimité politique: une conception politique du constitutionalisme pour ýl’intégration européenne,” par Dave Anctil finalement. ý
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